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la médcine

12 décembre 2005

des information sur le cholestérol

« Avoir du cholestérol ? », ça veut dire quoi ?

Le cholestérol est une molécule indispensable à la synthèse de certaines vitamines, nécessaires à la vie. Il est aussi utile pour transporter d’autres substances. Il est donc normal d’avoir du cholestérol dans le sang. La phrase « j’ai du cholestérol » signifie « j’ai TROP de cholestérol ». Il faudrait dire en fait : « J’ai trop de mauvais cholestérol ».

-  Cholestérol : il y a du bon et du mauvais ?

Absolument !

Le « bon » cholestérol est le HDL (cholestérol de « haute densité »), qui circule dans le sang ; ses caractéristiques biochimiques permettent à l’organisme de l’éliminer (le foie l’élimine dans la bile).

Le « mauvais » cholestérol est le LDL (cholestérol de « faible densité ») qui, lui, ne peut être éliminé et s’accumule dans les cellules mais aussi sur les parois des vaisseaux sanguins, créant ainsi des plaques d’athérome, qui à la longue bouchent les vaisseaux.

De ce fait, le LDL (« mauvais cholestérol ») est un des facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires.

-  Est-ce qu’il faut se faire doser le cholestérol « pour voir » ?

Il n’y a aucune raison de doser systématiquement le cholestérol à toute la population. Il faut le faire, comme tout examen complémentaire en médecine, seulement quand on en attend quelque chose, en l’occurrence, l’estimation du risque cardiovasculaire, en particulier en présence d’autres facteurs de risque (voir ci-dessous). Si ces facteurs de risque exisent, il peut être intéressant de faire un bilan lipidique complet.

Si le résultat du dosage de cholestérol est normal hors de toute modification de l’alimentation ou d’un quelconque traitement médicamenteux, il n’est pas nécessaire de le répéter plus d’une fois tous les 5 ans (Directives de l’AFSSAPS -Agence française pour la sécurité sanitaire des produits de santé).


Lire l’article sur pilule et cholestérol


-  Quelques définitions des maladies cardiovasculaires :

Les maladies cardiovasculaires ont en commun le fait que des artères (vaisseaux qui irriguent les organes et leur apportent de l’oxygène) se bouchent avec le temps, parce que des plaques de graisses (athérome) les obstruent et les fragilisent.

Quand une artère coronaire (qui irrigue la paroi du cœur) se bouche petit à petit, ça donne une angine de poitrine(des douleurs cardiaques à l’effort). Quand elle se bouche brutalement, ça provoque un infarctus du myocarde.

Quand une artère d’un membre inférieur se bouche progressivement, ça donne une douleur à la marche ; si elle se bouche brutalement, ça provoque un refroidissement brutal du membre. On parle alors d’ artérite.

Quand une artère du cou ou du cerveau se bouche progressivement, ça peut donner des troubles du comportement ou de la compréhension ; si elle se bouche brutalement, ça provoque un accident vasculaire cérébral qui peut se traduire par des troubles de la parole, par exemple, ou par une paralysie dans le territoire commandé par la zone du cerveau qui n’est plus irriguée.

-  Quels sont les facteurs de risque de maladie cardiovasculaire ?

Les facteurs de risque (FdR) sont des circonstances favorisant l’apparition d’une maladie. En l’occurrence, les facteurs de risque cardiovasculaires, tels qu’ils ont été énoncé par AFSSAPS [1] en 2005, sont les suivants :

-  être un homme de plus de 50 ans, ou une femme de plus de 60 ans,

-  compter un antécédent de maladie coronaire (angine de poitrine, infarctus du myocarde) précoce chez un parent du premier degré (homme de moins de 55 ans, femme de moins de 65 ans),

-  fumer ou avoir arrêté de fumer depuis moins de 3 ans,

-  souffrir d’une hypertension artérielle (traitée ou non)

-  souffrir d’un diabète de type 2 (= diabète qui ne nécessite pas l’administration d’insuline), traité ou non.

-  avoir un « bon cholestérol » HDL inférieur à 0.40 g/l (quel que soir le sexe),

Si le bon cholestérol HDL est supérieur à 0.60 g/l, (facteur protecteur) on compte un facteur de risque en moins.

Autrement dit : le fait d’avoir 50 ans (pour une femme), 60 ans (pour un homme) est « compensé » si on a un HDL supérieur à 0,60 g/l.

Comme on le voit, le « mauvais » cholestérol LDL n’est pas du tout le principal facteur de risque de maladie cardio-vasculaire : le dosage du LDL n’a d’intérêt que chez les personnes qui ont les facteurs ci-dessus.


Lire l’article sur pilule et cholestérol


On ne m’a dosé que le cholestérol total. Quelles conclusions dois-je en tirer ?

Le cholestérol total n’est pas suffisant pour déterminer le risque cardiovasculaire lié aux lipides sanguins. On ne peut estimer ce risque que si le LDL (« mauvais cholestérol ») est élevé ! ! !

Or, pour le moment le LDL ne se dose pas [2] Il se calcule selon la formule suivante (dite de Friedewald) :

LDL = CT - (HDL + TG/5)

LDL = mauvais cholestérol CT = cholestérol total HDL = bon cholestérol TG = triglycérides

Pour que le dosage du cholestérol soit interprétable il faut donc toujours faire un bilan lipidique complet comprenant :
cholestérol total + triglycérides (TG) + HDL cholestérol.

Les triglycérides (TG) sont des graisses particulières fabriquées à partir du sucre et de l’alcool. Le taux de triglycérides peut varier d’un jour à l’autre avec l’alimentation. Il n’est pas possible d’appliquer la formule ci-desus lorsque les TG > 4 g/l. Comme les TG varient en fonction de ce qu’on a mangé ou bu au cours des jours précédents, il ne faut pas faire ce genre de mesure entre Noël et le jour de l’an, ou le lendemain d’un week-end de mariage !

Pourquoi les médecins ne prescrivent-ils pas systématiquement le bilan lipidique complet ?

D’abord parce que ça coûte cher et que c’est prescrit un peu trop souvent (voir ci-dessus) à des gens qui n’en ont pas besoin. (On se demande à qui ces prescriptions inutiles profitent...)

Pour limiter les prescriptions inutiles, lors d’un premier bilan, le dosage du HDL n’est habituellement pas remboursé par la sécurité sociale. Si, et seulement si, le cholestérol total est élevé, le médecin demande dans un second temps le dosage du HDL et des TG sous l’intitulé « Exploration d’une Anomalie Lipidique ».

-  Comment savoir si mon « bilan lipidique » est normal ou pas ? Quelles sont les valeurs du mauvais cholestérol à ne pas dépasser ?

Encore une fois, un bilan lipidique n’est jamais interprétable seul : il faut tenir compte des autre facteurs de risque (FdR) cardiovasculaires. (voir ci-dessus)

Voici les normes énoncées par l’AFSSAPS en 2005 :
-  en l’absence de Facteur de risque : le LDL doit être inférieur à 2.2 g/l,
-  avec 1 FdR, le LDL doit être inférieur à 1.9 g/l,
-  avec 2 FdR le LDL doit être inférieur à 1.6 g/l,
-  avec 3 FdR le LDL doit être inférieur à 1.3 g/l,
-  si le patient est à haut risque (par exemple : une personne déjà fait un accident cardiovasculaire, ou un patient diabétique de type II ayant 2 FdR) : le LDL doit être inférieur à 1 g/l.

Cette norme varie donc du simple à plus du double en fonction du terrain : il faudra être très exigeant quant à la limite du LDL (inférieure à 1g/l) permise chez un coronarien (homme ou femme ayant une angine de poitrine ou subi un infarctus) alors qu’on acceptera plus du double (2, 20g/l) chez une jeune femme sans facteur de risque, ce qui est une situation très fréquente : je ne compte plus les patientes venues faire un bilan cardiologique pour une hypercholestérolémie... qui n’en était pas une. De même les fausses « hypercholestérolémies » sous pilule sont une cause fréquente d’angoisse inutile.


Lire l’article sur pilule et cholestérol


-  Au-dessus de quelle valeur de Cholestérol Total faut-il faire un bilan lipidique complet ?

Comme nous l’avons dit au-dessus, le seul cholestérol total n’a pas d’intérêt. Il est donc inutile de le doser "pour voir".

Si (et seulement si) les conditions sont remplies (existence d’autres facteurs de risque), il faut toujours faire un bilan lipidique complet. La valeur du HDL étant elle-même un facteur de risque (si le HDL est bas) ou un facteur protecteur (s’il est élevé).

Les laboratoires font payer le HDL de façon symbolique (quelques Euros), et souvent, la sécurité sociale ne fait pas d’ennuis aux médecins qui dès le premier dosage demandent « Exploration d’une Anomalie Lipidique » (donc : Cholestérol + TG + HDL), car c’est la recommandation de l’AFSSAPS.

Si, et c’est encore trop souvent le cas, vous n’avez eu que le dosage du cholestérol total et des triglycérides, il faudra refaire un bilan lipidique complet.

Il n’est plus du tout logique de fixer une "valeur de cholestérol total à ne pas dépasser". Cette norme est passée de 3 g/l à 2 g/l après certains essais cliniques et thérapeutiques mais elle ne devrait plus exister. En effet :

-  on peut avoir par exemple, un cholestérol total à 3 g/l, mais un HDL à 0,80 g/l, des TG à 1 g/l, donc une valeur de LDL à 2 g/l, ce qui est tout à fait satisfaisant si on n’a pas d’autre facteurs de risque ;

-  on peut avoir un cholestérol total à 1,90 g/l, un HDL à 0,25, des TG à 1 g/l, donc une valeur de LDL à 1,45 g/l, ce qui est trop élevé lorsque on a déjà fait un événement cardiovasculaire ou si on a plus de deux facteurs de risque.

Bon, mais si j’ai quand même du « mauvais » cholestérol, il paraît que je dois faire un régime ?

Quand on dépasse les normes de LDL (calculées à partir des facteurs de risque pré-existants), il est logique de conseiller quelques règles hygiéno-diététiques pendant 2 à 3 mois puis de refaire une analyse de sang.

Voici ces quelques règles hygiéno-diététiques :
-  de l’huile de colza ET,
-  de l’huile d’olive ET,
-  une margarine avec des acides gras particuliers (oméga 3...)ET,
-  plus de légumes ET,
-  plus de fruits ET,
-  plus de fibres et aliments complets (pain, riz, pates) ET,
-  moins de fromage ET,
-  moins de charcuterie ET,

Et...il n’est pas interdit de se faire plaisir de temps en temps...

Et si malgré le régime, j’ai toujours du cholestérol ?

C’est à ce moment, si et seulement si le LDL est au-dessus des normes établies en fonction du risque cardiovasculaire qu’il faudra envisager un traitement médicamenteux. Mais ça, c’est une autre histoire...

Bruno Schnebert (Cardiologue)

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9 décembre 2005

cholestérol


[L.J.S.] -  Le cholestérol est une graisse dont nous avons besoin. Il peut être fabriqué par le foie ou apporté par l'alimentation (d'origine animale bien sûr). L'organisme est capable de réguler sa propre production en fonction de la quantité de cholestérol amenée par l'organisme.

Il existe dans le corps deux lipoprotéines qui transportent le cholestérol. Le HDL, high density lipoproteins , est appelé « bon cholestérol » puisqu'il ramène vers le foie le cholestérol qui se trouve en excès dans l'organisme. Il nettoie donc les artères.

Le LDL joue le rôle inverse : il apporte le cholestérol aux différents organes. Un excès de mauvais cholestérol peut entraîner son dépôt sur les parois des artères et les abîmer. Plus le LDL est élevé et plus les risques de maladies cardiovasculaires le sont aussi.

Le Dr Christopher Cannon s'est intéressé à plus de 1800 patients traités avec des statines. Ces molécules bloquent la synthèse du cholestérol par le foie en inhibant une enzyme impliquée dans cette fabrication. « Nous nous sommes intéressés à des patients qui ont un taux de cholestérol très bas pour nous assurer que cela était sûr pour eux » annonce le chercheur américain.

Grâce au traitement, 91% des personnes ont eu un taux de cholestérol-LDL inférieur à 100 mg/dl. Plus d'un sur dix était même descendu à 40 mg/dl.

"Nous avons non seulement trouvé que ce faible taux était sans danger pour la santé mais qu'en plus, c'était bon !". Il vaudrait mieux avoir un taux de LDL compris entre 40 et 50 mg/dl qu'un taux entre 70 et 80. On diminuerait ainsi ses risques de problèmes cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux. "Le message est que plus c'est bas, mieux c'est" conclut le chercheur.

D'autres études viennent cependant nuancer quelque peu ces propos. Chez les personnes âgées par exemple, il semblerait qu'un faible taux de cholestérol augmente la mortalité. Dès 1992, des chercheurs américains (1) ont en effet trouvé une mortalité plus élevée chez les personnes âgées qui avaient un taux de cholestérol très bas. Plus récemment, une équipe de chercheurs autrichiens (2), qui a suivi plus de 150000 personnes sur une période de quinze ans, a également trouvé la même relation. Trop de cholestérol est mauvais pour le coeur des personnes de plus de 50 ans et pas assez de cholestérol est associé à une augmentation de la mortalité, que ce soit par cancers, maladies mentales ou maladies du foie.

(1) Harris T : The low cholesterol-mortality association in a national cohort. J Clin Epidemiol. 1992 Jun;45(6):595-601.

(2) Ulmer H, et al. Why Eve is not Adam: prospective follow-up in 149650 women and men of cholesterol and other risk factors related to cardiovascular and all-cause mortality. Journal of Womens Health, Jan-Feb. 2004; 13 (1): 41-53.

4 décembre 2005

10 conseils anti-cholestérol L’équilibre

10 conseils anti-cholestérol L’équilibre alimentaire renforçant la santé, la lutte contre l’excès de cholestérol passe principalement par une modification des habitudes alimentaires. Voici 10 idées malignes pour combattre l’ennemi de nos artères. 1 - Je stocke intelligemment pour ne pas sacrifier l’équilibre à la dernière minute Une à deux fois par mois, je fais le plein de surgelés et de produits d’épicerie afin d’avoir toujours des soupes et des purées de légumes, des légumes prédécoupés, précuits, des coulis de tomates, des fruits, du poisson en filet, du thon au naturel, du riz, des pâtes, des légumes secs, cuits ou à cuisson rapide… Du sain, du bon qui se prépare en 15 minutes chrono. Je limite les flammekueches, quiches, feuilletés, produits panés, moussaka, nuggets, fondants au chocolat et crèmes glacées, riches en certaines graisses saturées, des graisses le plus fréquemment d’origine animale dont l’excès favorise l’augmentation du mauvais cholestérol dans le sang. 2 - Je fréquente le poissonnier et le maraîcher Pour apprécier et partager en famille du poisson deux à trois fois par semaine et des légumes et des fruits tous les jours, je mise sur des bons produits. Aller faire son marché régulièrement permet de se familiariser avec la diversité des espèces, de changer ses habitudes en consommant des aliments de saison et d’apprendre une multitude d’astuces et de recettes sur l’art et la manière de préparer et accompagner du maquereau, de la raie, du thon, du loup etc. 3 - Côté matières grasses Je me mets à la cuisine à l’huile d’olive, riche en acides gras monoinsaturés, une famille d’acides gras qui se comporte de façon neutre face au cholestérol. Pour les assaisonnements, j’opte pour l’huile de colza, ou pour des combinaisons d’huiles, riches en oméga 3, une famille d’acides gras essentiels polyinsaturés qui participent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire. Régulièrement, j’utilise de l’huile de tournesol, riche en oméga 6, une autre famille d’acides gras essentiels polyinsaturés qui contribuent à faire baisser le taux de cholestérol sanguin. 4 - Pour les fromages et les produits laitiers, je ruse Pas question de renoncer au plaisir du fromage et à ses bienfaits tels que son apport en calcium et en protéines ! Tout est une histoire d’équilibre alimentaire ! Si je souffre d’un excès de cholestérol, je peux soit surveiller ma consommation de certains aliments pouvant contenir certains acides gras saturés, soit opter pour une version plus allégée. Dans le rayon fromages, il existe même aujourd’hui de nouveaux produits qui contribuent à limiter l’excès de cholestérol dans le cadre d’un régime adapté. Dans ces nouveaux produits, les graisses saturées ont été remplacées par des graisses insaturées riches en oméga 3. Pour en savoir plus sur ces produits, cliquez ici. 5 - J’arrête les fritures, beignets et autres merveilles même concoctées avec des légumes ou des poissons La cuisson dans un bain d’huile réduit à néant tous les efforts réalisés pour maîtriser la consommation de graisses. Les aliments sont imbibés d’huile, ce qui augmente considérablement l’apport de matières grasses et de calories. Quand ils sont pré-cuits (surgelés) ou préparés hors domicile (fastfood, restaurants…), les aliments frits sont souvent plongés dans des huiles hydrogénées, riches en acides gras saturés et parfois en acides gras trans, deux familles d’acides gras qui, pris en excès, sont défavorables à la santé du cœur. 6 - J’investis dans du matériel de professionnels pour une cuisine légère et savoureuse Je renouvelle mes poêles antiadhésives si elles accrochent et je mise sur un wok, l’idéal pour préparer en un clin d’œil des légumes croquants accompagnés de volailles ou de poissons. Et soyons fous, je m’offre un cuit-vapeur ! Avec lui, on a toujours tout bon : il est idéal pour la préparation des légumes, du poisson et de la volaille (que du sain et du léger) avec une cuisson sans matières grasses et qui préserve en grande partie la teneur en vitamines des aliments. Le tout relevé et agrémenté d’herbes fraiches, épices, d’aromates, piments, coulis de tomates, oignons, échalotes… je me régale ! 7 - Je me mets à la fusion food et je découvre les vertus du soja Des études ont démontré que les protéines de soja, si consommées au quotidien et dans une certaine mesure, contribuent à faire diminuer le taux de cholestérol sanguin. Plus le taux est élevé plus l’action hypocholestérolémiante du soja est importante. Riches en protéines de bonne qualité, qui sont une alternative à la viande, le soja contient également des acides gras polyinsaturés. Le soja que je peux prendre sous forme de boisson (tonyu), de yaourt ou de tofu, fait alors une entrée en fanfare dans ma cuisine. Une recette tofu ? Simplissime pour 2 personnes dans un plat à gratin je mets 200 g de tofu coupé en dés, 2 courgettes coupées en rondelles fines, 2 mini aubergines, 1 carottes coupée en fins bâtonnets, 1 poivron tranché en fines lanières, 1 oignon émincé, du thym, 2 cuillère à soupe d’huile d’olive et au four pendant 35 à 40 min. Un délice ! 8 - Je me mets à la cuisine Pas de mystère, vous l’avez compris pour manger sain, il faut mettre la main à la pâte. Coup de chance, la cuisine fait son grand retour : se mettre aux fourneaux est aujourd’hui très tendance ! On se fait offrir des cours de cuisine avec de grands chefs talentueux et des livres de cuisine, aussi beaux qu’appétissants. Comme c’est à la mode, on peut avec un peu de chance convaincre mari, enfants et ados de nous aider à écosser les petits pois. Et nos grand-mères seront ravies de transmettre leurs secrets ! 9 - A midi, je varie mon régime Anti-cholestérol ne rime pas avec monotone. Il n’y a pas que le saumon-légumes verts dans la vie. Il y a aussi le couscous, excellente association de légumes, de céréales et de légumes secs, les sushis et les sashimis, les plats complets végétariens du restaurant indien, les blanquettes de veau ou de poisson, les lasagnes bolognaises ou aux légumes avec une fine couche de fromage, les huîtres de la brasserie d’à côté et les moules marinières ou le steak tartare, … sans les frites cela va de soi. 10 - Je bouge tous les jours L’activité physique évite l’encrassement des artères en favorisant notamment l’augmentation du bon cholestérol. Tous les jours, je fais mes 30 minutes d’activité physique et 1 à 3 fois par semaine je pratique la marche rapide, le jogging, le vélo, la natation, la danse, le tai chi, le yoga, etc. Ces activités aident à protéger la santé cardio-vasculaire, maintenir un poids de forme, améliorer le sommeil, et se sentir moins stressés et de meilleure humeur
22 novembre 2005

lamzouri:hépatite C

Comment se transmet le virus ?

Par transfusion

Grâce à l’instauration de la loi sur le dépistage obligatoire des dons de sang depuis 1990, le risque de contamination par transfusion est inférieur à 5 pour un million. Depuis 1992, un test de dépistage du virus de l’hépatite C a réduit considérablement ce risque. Enfin en 2001, la recherche du génome du virus rend les contaminations exceptionnelles. Cependant, du fait de la durée d’incubation longue de l’hépatite C, l’infection par transfusion représente encore entre 20 et 40 % des cas de séropositivité.

Mais souvent les personnes ignorent qu’elles ont été transfusées. L’administration de produits sanguins peut avoir lieu lors d’une greffe, d’une intervention chirurgicale importante, d’une hospitalisation en réanimation, d’une hémorragie digestive, d’un .accouchement compliqué, de soins en néonatalogie, etcvhc_transmission

Par toxicomanie intraveineuse

70 % des nouveaux cas d’hépatite C concernent des toxicomanes. Si l’utilisation de seringues à usage unique permet de réduire ce mode de contamination, la transmission est également possible à partir du petit matériel de préparation : petites cuillères, coton, paille pour sniffer…

Contamination en milieu hospitalier – infections nosocomiales

Des cas de contamination en milieu hospitalier ont été recensés ; ils sont le fait de transmissions de virus entre équipes soignantes et malades lors de la réalisation d’actes médicaux (par piqûre, exposition répétées à des sécrétions comprenant des virus…). Cependant, il est aisé de prévenir ces risques grâce à des mesures d’hygiène strictes. La généralisation des instruments médicaux à usage unique a  considérablement réduit ce risque. Cependant, une évaluation des pratiques professionnelles comme l’endoscopie, de dentisterie, stomatologie, biopsie… sera lancée dès mars 2002. Enfin, "la question des professionnels de santé porteurs chroniques du virus des hépatites B et C et les risques de transmission aux malades devra être approfondie" selon les termes du Ministre Bernard Kouchner.

Transmission sexuelle

Le VHC n’est pas trouvé dans les urines, les selles et les sécrétions vaginales. Cependant, on le retrouve de manière aléatoire dans la salive et le sperme. Ainsi, la transmission par voie sexuelle reste aujourd’hui exceptionnelle qu’il s’agisse de rapports hétérosexuels ou homosexuels. Cependant, elle semble augmenter si les rapports ont lieu à l’occasion des règles ou en cas d’infections génitales ou de lésions des organes sexuels.

Transmission de la mère à l’enfant

La transmission de la mère à l’enfant est estimée à 5 %. On estime aujourd’hui qu’elle se produit très probablement au cours de l’accouchement.

Tatouage et piercing

L’utilisation de matériel insuffisamment stérilisé lors de séance de piercing, de tatouage ou d’acupuncture peut également être un facteur de transmission. La campagne d’information lancée par le Comité Français d’Education pour la santé en juin 2001 avait attiré l’attention sur ces pratiques.

Modes de transmission inconnus

Dans 20 à 40 % des cas, les modes de contamination restent inconnus (causes multiples, contamination ancienne…).

David Bême

22 novembre 2005

lamzouri:hépatite C

Comment se transmet le virus ?

Par transfusion

Grâce à l’instauration de la loi sur le dépistage obligatoire des dons de sang depuis 1990, le risque de contamination par transfusion est inférieur à 5 pour un million. Depuis 1992, un test de dépistage du virus de l’hépatite C a réduit considérablement ce risque. Enfin en 2001, la recherche du génome du virus rend les contaminations exceptionnelles. Cependant, du fait de la durée d’incubation longue de l’hépatite C, l’infection par transfusion représente encore entre 20 et 40 % des cas de séropositivité.

Mais souvent les personnes ignorent qu’elles ont été transfusées. L’administration de produits sanguins peut avoir lieu lors d’une greffe, d’une intervention chirurgicale importante, d’une hospitalisation en réanimation, d’une hémorragie digestive, d’un .accouchement compliqué, de soins en néonatalogie, etcvhc_transmission

Par toxicomanie intraveineuse

70 % des nouveaux cas d’hépatite C concernent des toxicomanes. Si l’utilisation de seringues à usage unique permet de réduire ce mode de contamination, la transmission est également possible à partir du petit matériel de préparation : petites cuillères, coton, paille pour sniffer…

Contamination en milieu hospitalier – infections nosocomiales

Des cas de contamination en milieu hospitalier ont été recensés ; ils sont le fait de transmissions de virus entre équipes soignantes et malades lors de la réalisation d’actes médicaux (par piqûre, exposition répétées à des sécrétions comprenant des virus…). Cependant, il est aisé de prévenir ces risques grâce à des mesures d’hygiène strictes. La généralisation des instruments médicaux à usage unique a  considérablement réduit ce risque. Cependant, une évaluation des pratiques professionnelles comme l’endoscopie, de dentisterie, stomatologie, biopsie… sera lancée dès mars 2002. Enfin, "la question des professionnels de santé porteurs chroniques du virus des hépatites B et C et les risques de transmission aux malades devra être approfondie" selon les termes du Ministre Bernard Kouchner.

Transmission sexuelle

Le VHC n’est pas trouvé dans les urines, les selles et les sécrétions vaginales. Cependant, on le retrouve de manière aléatoire dans la salive et le sperme. Ainsi, la transmission par voie sexuelle reste aujourd’hui exceptionnelle qu’il s’agisse de rapports hétérosexuels ou homosexuels. Cependant, elle semble augmenter si les rapports ont lieu à l’occasion des règles ou en cas d’infections génitales ou de lésions des organes sexuels.

Transmission de la mère à l’enfant

La transmission de la mère à l’enfant est estimée à 5 %. On estime aujourd’hui qu’elle se produit très probablement au cours de l’accouchement.

Tatouage et piercing

L’utilisation de matériel insuffisamment stérilisé lors de séance de piercing, de tatouage ou d’acupuncture peut également être un facteur de transmission. La campagne d’information lancée par le Comité Français d’Education pour la santé en juin 2001 avait attiré l’attention sur ces pratiques.

Modes de transmission inconnus

Dans 20 à 40 % des cas, les modes de contamination restent inconnus (causes multiples, contamination ancienne…).

David Bême

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22 novembre 2005

amina lamzouri :Hépatite C

vhc_niv1Hépatite C : une épidémie silencieuse

Avec environ 5 000 nouveaux cas par an, le nombre de personnes infectées par l'hépatite C atteindrait près de 800 000 ! Mais un tiers à la moitié d'entre-elles ignorent être affectées par ce mal qui peut se traduire en cancer ou en cirrhose du foie. Etes-vous à risque ? Comment savoir si vous êtes contaminé ? Quels sont les traitements ? Découvrez l'essentiel sur cette épidémie silencieuse.

Portrait d'un redoutable ennemi

Découvert en 1989, l'hépatite C est un virus aux conséquences parfois dramatiques. Qui est cet hôte qui en veut à notre foie ? Comment se transmet-il ? Comment évolue la maladie ?… Toutes les réponses à vos questions sur ce microbe singulier

21 novembre 2005

qu'estceque c'est la maladie de tension

• La tension artérielle, qu'est-ce que c'est au juste? Dre Danielle Perreault Coeur et tension artérielle Le coeur pompe le sang et le distribue dans le corps par les artères avec une certaine pression. La tension artérielle s'obtient en mesurant cette pression à deux occasions: lorsque le coeur se contracte (le chiffre le plus haut) et lorsque le coeur se détend (chiffre le plus bas). • Les chiffres à atteindre Diane Lamarre - la moitié de ceux qui font de la haute tension artérielle ne le savent pas - c'est une condition qui augmente les risques d'accidents cérébro-vasculaires (ACV) et d'infarctus de façon linéaire: plus la tension est haute, plus les risques sont élevés - règle générale, il faut essayer d'atteindre le chiffre le plus bas: 130, c'est mieux que 140, mais 120, c'est encore mieux et 110 encore mieux - l'objectif de rester en bas de 140/90 est très important pour ceux qui ont eu un diagnostic de haute tension - on a évalué que le risque d'avoir un ACV augmente beaucoup, si, dans les 5 années suivant un diagnostic de haute tension, on n'a pas stabilisé sa tension en bas de 140/90 Fiche d'enregistrement de tension artérielle • Tension artérielle : comment la prendre à la maison Diane Lamarre - il faut être reposé, il faut éviter de bouger - éviter de boire du café ou de fumer 30 minutes avant - être assis, le bras plus bas que le coeur - le brassard doit être installé de 2 à 3 cm au-dessus du pli du coude - il faut placer le tube qui sort du brassard vis-à-vis l'artère du bras - il faut adapter le brassard à la dimension du bras (on en trouve de plusieurs tailles différentes) - il ne faut pas trop serrer (on doit pouvoir passer deux doigts sous le brassard) - on ne doit pas bouger l'appareil qui capte des ondes, ça fausse la lecture - dans quel bras? faire des tests au début sur les deux bras et utiliser ensuite le bras qui donne la lecture la plus élevée - une fois par année, faire vérifier l'appareil (soit chez le médecin ou chez le pharmacien) pour s'assurer qu'il est bien ajusté - les appareils qu'on retrouve dans les pharmacies sont vérifiés deux fois par année, le problème n'est pas tant de savoir s'ils font une lecture exacte, mais bien d'arriver à respecter les conditions (repos, etc.) pour obtenir une bonne lecture. • Les personnalités colériques Rose-Marie Charest La colère: une émotion normale - elle n'a pas bonne presse, mais on en a tous de la colère - la différence, c'est dans le mode d'expression de la colère, tout se passe là: comment on l'exprime - quelqu'un qui n'exprime jamais sa colère peut un jour ou l'autre exploser - les recherches ne sont pas définitives, mais tendent à démontrer que ces personnes sont plus à risque quant au développement de maladies cardiaques - deux pôles à éviter: les explosions de colère et la répression de la colère Comment réagir face à une personne colérique - il est très important de faire la différence entre ce qu'on peut ACCEPTER et ce que l'on COMPREND (note de votre miss web - qui fait pour vous les résumés de 37,5 - : la racine latine de comprendre, c'est "cum prendere", "prendre avec soi") - il faut d'abord comprendre que la colère n'est pas une émotion qu'on produit sur commande, pas plus que la peur, c'est un mécanisme qui s'enclenche: la personne est la plupart du temps frustrée, peut avoir été humiliée, ou peut ressentir un grand sentiment d'injustice La personnalité colérique - quelqu'un qui a été très souvent humilié et qui n'a pas appris d'autres mécanismes de résolution de problèmes ou de communication va souvent être une personne colérique - souvent elle se fâche et ça fonctionne: les autres ont peur d'elle et lui donnent ce qu'elle veut - à moins d'être un psychopathe, de façon générale, les personnes colériques se sentent coupables de s'être fâchées, humiliées de s'être fâchées et ça provoque un effet de boule de neige "Il n'est plus capable de penser" - quand quelqu'un est en colère, il ne s'agit pas d'essayer de le raisonner immédiatement - sur le coup, on se protège (si c'est quelqu'un qui devient violent) - plus tard, il faut reconnaître la cause de sa colère: si quelqu'un a ri de lui, il faut lui témoigner de la sympathie (ex: ce n'est pas facile de faire rire de soi) plutôt que de l'accabler en lui disant qu'il a réagi de façon excessive - faire attention: quelqu'un qui se met en colère, ça peut être aussi parce qu'il est déprimé et qu'une remarque l'a atteint dans sa détresse Vivre avec un colérique: pistes de solution - un colérique peut difficilement changer de tempérament, mais il peut changer ses comportements: s'il est capable de contenir sa colère au travail, il est capable de la contenir à la maison - le piège pour le conjoint ou la conjointe, c'est d'avoir tellement peur de la colère de l'autre, qu'il se mette à ne plus rien communiquer de vrai, que tous les messages deviennent faussés - il faut profiter d'un moment de calme pour s'entendre sur des mécanismes de gestion des colères (ex: comment veux-tu qu'on procède la prochaine fois que tu piques une colère et que tu deviens désagréable? Je quitte la pièce et je m'enferme dans les toilettes?) - informer l'autre que ça nous touche, qu'on ne va pas tolérer n'importe quoi, tout comme un patron ne tolèrerait pas n'importe quoi - il ne faut surtout pas "subir" ça comme si on n'y pouvait rien - et évidemment, ne pas en rajouter, ne pas humilier l'autre (ex: parler de ses colères devant les autres), la personnalité colérique se retrouve beaucoup chez des gens qui ont été humiliés, ils sont sensibles à l'humiliation, il faut faire attention - la thérapie est efficace, quand la volonté de changer vient de la personne colérique et non pas de son entourage. • Le saviez-vous ? Couleur des médicaments et cataracte Diane Lamarre Cataracte et couleur des médicaments - Des médicaments, il y en a de toutes les sortes, il y en a de toutes les formes, et il y en a de toutes les couleurs. - Aujourd'hui on vous parle des couleurs des médicaments, parce que la perception de ces couleurs est importante et parce qu'elle change avec les années. - En vieillissant, notre vision s'assombrit, quand on a des cataractes, on a comme un halo jaune qui passe sur toute notre vison, donc on perd de l'éclat dans notre vision et on perd également la perception juste des couleurs. - Ce qui fait que des comprimés bleus, on peut très bien les percevoir comme des comprimés verts. - Alors quand vous allez voir votre médecin, si vous lui parlez de vos comprimés verts, il peut penser à un autre médicament que celui que vous voulez lui décrire. - Il y a plusieurs médicaments qui sont concernés par ça, tous les médicaments en fait peuvent l'être, mais si on pense à des médicaments pour la glande tyroïde ou pour la coagulation sanguine, qui sont des médicaments importants, ces produits-là sont disponibles dans une multitude de concentrations différentes. - Alors si on parle d'un comprimé qui est pêche alors qu'il est rose, ça peut modifier vraiment la concentration qu'on veut vous donner. - Donc, il faut éviter de décrire nos comprimés par la couleur, il faut y aller avec la bouteille, la bonne étiquette, l'étiquette originale, on fait pas de mélange, et c'est ce qu'on apporte quand on va rencontrer notre médecin ou quand on a des questions à poser à notre pharmacien, pour être sûrs qu'on a la réponse sur le bon médicament, à la bonne concentration. • L’obésité Dr Dominique Garrel, endocrinologue L'obésité a atteint des proportions épidémiques, depuis une quinzaine d'années, le nombre de personnes qui en souffre s'est multiplié par deux ou trois, dans tous les pays, dans toutes les classes sociales et dans tous les âges. Aux États-unis, par exemple, si rien n'arrive, la moitié de la population sera obèse dans 20 ans. Spécifions un peu - tous les cas d'obésité ont une composante génétique plus ou moins forte, mais assez souvent importante - l'obésité est un excès de graisse dans le corps qui entraîne des maladies, les plus fréquentes étant de l'hypertension, du diabète, de l'hypercholestérolémie, toutes des maladies qui peuvent causer un infarctus - c'est toujours un déséquilibre du bilan de l'énergie : si vous avez un petit surplus calorique qui vous fait prendre 2 kilos par année, au bout de 10 ans, vous pesez 20 kilos de trop - c'est très difficile de faire changer le poids, de le faire baisser: l'organisme s'est habitué à un certain apport calorique et quand il baisse, c'est un signal d'alarme, c'est comme si vous alliez mourir, alors des mécanismes redoutables se mettent en place pour empêcher cela Socialement, il faut avoir une approche plus responsable - comme le traitement est difficile, beaucoup de médecins baissent les bras et disent à leurs patients: "Il faut maigrir!", c'est comme s'ils disaient à un asthmatique: "Respirez mieux!" - il faut soigner les obèses pour les empêcher d'être malades - on a affaire à des gens qui sont "malades", il faut reconnaître que l'obésité est une maladie - il faut prendre en charge ces gens-là: un obèse a besoin d'être suivi par une nutritionniste, or, ni le gouvernement ni les assurances ne remboursent ces frais-là - c'est la seule maladie où il y a tout un marché qui exploite honteusement ces malades-là Traitement pour l'obésité morbide (au-delà de 100 livres de plus) - le seul traitement efficace que nous connaissions, c'est la chirurgie bariatrique, la chirurgie qui dérive l'intestin - c'est le seul traitement payé par le gouvernement (mais au Québec, il y a une attente de 4 à 5 ans) - c'est durable: 15 ans après, les gens qui ont subi l'opération ont très peu repris de poids • En réponse à vos questions Question de Christopher Hall La masturbation rend-elle sourd ou aveugle? Rose-Marie Charest répond: C'est une blague! Les menaces de répercussions physiques pour déclencher la culpabilité chez celui qui se masturbe sont vieilles comme le monde. Reste que la masturbation est un geste très très intime, si jamais il vous arrive de surprendre vote adolescent en train de le faire, faites donc comme si vous n'aviez rien vu! Question de Patrice L'Écuyer Aujourd'hui, tout le monde a mal de dos: est-ce que c'est nouveau, et si oui, pourquoi? Frédéric Loiselle et Dominique Garrel répondent: On dit aujourd'hui que 80% de la population souffrira un jour d'un problème de dos. C'est peut-être nouveau, c'est certainement lié au fait qu'on vit beaucoup plus longtemps et qu'on se met plus à risque. Le mal de dos est la cause numéro 1 de consultation chez le médecin de famille, on en reparlera en profondeur dans la saison.

21 novembre 2005

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21 novembre 2005

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